Aziza Shadenova

Aziza Shadenova propose une installation reprenant le textile traditionnel soyeux ikat pour sensibiliser au rôle de l'histoire et de la géologie dans l'identité de l'Asie centrale. Conçus à l'origine comme des accessoires pour un film sur la disparition de la mer d'Aral, ces yeux agissent comme des avertissements talismaniques sur les désastres écologiques provoqués par l'homme, comme celui perpétré par l’État soviétique dans leur surproduction de coton ou d'« or blanc ».